vendredi 21 novembre 2008

Boulot de cons, oui...

Je retire ce que j'ai dit plus tôt, j'ai vraiment un boulot à chier.
ça devrait pas être permis de faire plus de 3 heures sup en une journée. Et encore, je voulais arriver encore plus tôt ce matin mais j'ai roupillé une demi heure de plus que prévu. Bon, il y a quand même des points positifs à cette journée. J'ai pu discuter 10 minutes avec une collegue que j'aime bien, meme si elle est casée ça m'empeche pas de la trouver belle. J'ai pu lui declarer ma flamme lui faire part des problemes de communication que j'ai avec un type de son équipe. Je pense qu'elle s'y est bien pris, puisqu'on a partagé une pause clope pour tout remettre à plat avant son depart.
Mais quand meme, le vendredi soir, c'est vraiment chiant de partir à 21h30. Bon, j'admet que vers 20h (l'heure à laquelle je suis sensé partir) j'ai eu mon boss sur msn qui me disait "finis juste les trucs que je peux pas faire et pars en week end", je lui ai répondu "ne t'inquietes pas, tant que je suis là je me charge de tout, occupe toi de ton mioche plutôt, je te passe la main quand j'aurai fini, pas avant"
j'suis con aussi...
Je sens que mon collegue R. va encore me faire une scene toute la semaine parce que je travaille trop (déjà ce matin il m'a fait des remarques parce que c'est pas raisonnable d'arriver avec une heure et demie d'avance)

J'aime mon travail

Si, si je vous assure, j'aime ce que je fais. C'est quand meme plaisant d'etre payé pour faire un truc qu'on aime.
Hier et aujourd'hui, j'ai eu un bidule assez technique à faire et ça m'a fait plaisir de le faire (heureusement que le chef etait là pour faire le plus gros, quand meme). En plus il me laisse recuperer tous les lauriers pour l'operation (bon, il me laisse aussi prendre la responsabilité pour le temps que ça a pris).
J'aime bien ce genre de situations où on reste tard le soir et on arrive plus tôt le lendemain (pas si tôt que ça non plus, faut pas deconner!) pour que les choses avancent.
Puis aussi ça montre aux autres services que je suis un gars qui sait faire plein de choses (evidemment que c'est faux, mais j'aime tant me la peter que je les laisse le croire)

samedi 15 novembre 2008

Les oreillers et moi...

Oui, les oreillers et moi c'est une longue histoire.
Je ne m'en etais pas rendu compte avant que mon ex ne m'offre celui sans lequel je ne pouvais pas m'endormir quand j'etais chez elle.
quand on s'est remis ensemble, soit je dormais avec elle, soit je dormais avec cet oreiller (ce qui m'a contraint à une certaine forme de fidelité)
Aujourd'hui encore sans cet oreiller je ne dors pas à mon aise.
Mais il est un autre oreiller que je n'oublierai pas de sitôt c'est celui qu'elle a utilisé pour "faire semblant de" m'etouffer
depuis, pour des raisons de confort j'ai encore des oreillers mais je les tiens fermement pour etre certain qu'ils sont SOUS ma tete et non l'inverse

lundi 10 novembre 2008

La pepette revient à la charge

Résumé des épisodes précédents (précédemment dans la vie de Nigel)
Avec mon ex, c'est fini, c'est pour ça qu'on appelle ça une ex. Pour qu'elle arrête de me harceler je l'ai mise sur liste rouge. Mais voilà t'y pas qu'elle passe par ma mère pour me joindre. Refusant de répondre, elle laisse donc un message en larmes sur son répondeur, et j'ai cédé, je l'ai rappelée. La raison de son appel était bien ce que je pensais, elle a mis un contrat sur ma tête car j'ai dit à quelqu'un des choses que cette personne ne devait pas savoir à propos d'elle. (longue histoire, je vais pas en faire des tartines c'est censé être un résumé)
Bon, la conversation était à base de "je vais te tuer", "qu'est-ce que je dois faire pour que tu arrêtes de me pourrir la vie, te tuer?", "je chiale quand je revois les photos de nous", "je t'aime", je vais te tuer", "viens chez moi regarder un film", "attention maintenant je suis devenue une bombe et si je te surprends à bander en me regardant je te tue", "si tu me touches t'es mort", "je t'aime", "je vais te tuer", et là j'ai raccroché.

Et maintenant la suite des événements précédents
ce matin je reçois un sms ce matin dont le contenu m'a un peu déstabilisé:
"Tu as raison et je te remercie de m'avoir ouvert les yeux. Tu n'as plus rien à craindre. Je ne te tuerai pas. Je t'aime tite chose." (à la virgule près)
Comment dois-je l'interpréter? ça ne lui ressemble pas de changer d'avis de manière aussi radicale et rapide, d'être aussi directe, et surtout d'admettre que j'ai raison (surtout que j'avais pas franchement raison, soyons honnête deux secondes), donc c'est très vraisemblablement ironique. Je trouve cependant déplacé qu'elle utilise la locution "tite chose" qui était le petit nom qu'elle me donnait avant. il y a des mots qu'on ne doit pas utiliser si on ne les utilise pas sérieusement. c'est du faux et usage de faux. ça me blesse un peu, quand même, et je trouve que c'est fourbe comme procédé.

Et même si c'est sincère, ça ne changera rien. Soutenu par tous ceux qui m'ont ramassé à la cuiller quand j'étais avec elle, il est important que je ne cède pas et que je reste loin d'elle.

c'est pas facile de se forcer à rester loin d'une femme qu'on aime encore dans le fond, mais comme je lui disait hier au téléphone, l'oreiller qu'elle a utilisé pour m'étouffer, je ne l'ai plus contre le visage, mais encore en travers de la gorge.

vendredi 7 novembre 2008

excusez mon silence

J'ai plein de trucs à dire en ce moment.
C'est juste que j'ai aussi eu l'occasion de glander une semaine et je m'en suis donné à cœur joie. Une semaine de vacances, où on peut faire un peu la grasse mat' ça permet de recuperer un peu.

Bon, tres bientôt je me remettrai à raconter ma vie, mais là je retourne regarder un animé tout en jouant de la gratte (ce qui est bien avec les dessins animés japonais c'est qu'à chaque episode on a un bon rappel de ce qui s'est passé dans le precedent donc ça ne demande pas une concentration extreme)